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Casser le miroir : refaire l’image du corps parmi les jeunes

29 août 2024
L'image montre une personne se regardant pensivement dans le miroir, qui reflète une partie de son visage.

Dans un monde où les critères de beauté nous enferment trop souvent au reflet que l'on voit dans le miroir, le temps est venu de casser ce dernier et de réécrire le récit de l’image du corps pour les jeunes en y privilégiant l’authenticité, la diversité, l’autonomie et l’acceptation. À mesure que les différents médias occupent une place de plus en plus importante dans l’image que nous avons de nous-mêmes, de notre corps, et des corps des autres personnes, la nécessité de remettre en question ces récits dans le contexte éducationnel prend une nouvelle ampleur.

Comment passer à l’acte? Il ne s’agit pas simplement de changer le reflet que les jeunes voient dans le miroir, mais plutôt de nous attaquer aux idées qui sous-tendent et alimentent ces perceptions. Les écoles sont très bien placées pour assumer un rôle catalyseur dans cette transformation, en inculquant aux jeunes les attitudes pour prendre conscience de leur valeur et pour célébrer la beauté de la diversité. Pour ce faire, il faut dans un premier temps examiner et revoir les systèmes et les perspectives qui engendrent les récits sur le corps qui marquent notre société. Les cours d’éducation physique et à la santé (EPS) sont le contexte idéal pour montrer la voie et pour soutenir le bien-être et la santé des jeunes en ce qui a trait à la transformation des perceptions et des perspectives autour de l’image du corps. Dans cet article, nous vous proposons un parcours de perfectionnement professionnel en examinant et en amorçant une discussion sur les facettes raciales et colonialistes des récits au sujet du corps et de l’alimentation, ainsi que les effets de ceux-ci sur l’image image du corps, et sur les différents moyens concrets et pratiques par lesquels les enseignant.e.s d’EPS peuvent commencer à réécrire les récits au sujet du corps et de l’alimentation, en collaboration avec les élèves. 

L'image montre un miroir brisé reflétant une main qui veut en ramasser les morceaux.

Les facettes raciales et colonialistes des récits au sujet du corps et de l’alimentation

Afin de pouvoir mettre en cause et réécrire les récits au sujet du corps, il faut dans un premier temps identifier et reconnaître les systèmes auxquels nous nous heurtons. Que vous ayez vécu ou que vous vous soyez livré.e à l’un ou l’autre des comportements suivants, nous souhaitons rappeler aux enseignant.e.s la nécessité de faire preuve de compassion à l’égard de soi-même et de ne pas éprouver de honte ou de culpabilité pour avoir pris les mesures jugées meilleures dans les circonstances.

Vous est-il déjà arrivé de donner un compliment à une personne pour une perte de poids? De louer le choix des élèves qui préfèrent des fruits et des légumes à une barre granola dans leur boîte à lunch? De discuter des régimes avec des collègues à l’heure du déjeuner? Dans l’affirmative, vous ignorez peut-être le fait que ces types de comportements sont des exemples de partialité contre les obèses, de capacitisme, de classisme, voire de racisme. Oui, de racisme. Dans son livre ‘Fearing the Black Body: The Racial Origins of Fat Phobia’, Sabrina Strings présente un panorama historique soulignant que les attitudes à l’égard de l’obésité ne sont pas le produit de découvertes dans le domaine de la médecine, mais plutôt de la notion qui a vu le jour pendant le Siècle des Lumières selon laquelle l’obésité était synonyme de la « sauvagerie » et de l’infériorité raciale incarnée par les personnes noires. Cette notion était très en évidence durant la période de la traite transatlantique des esclaves, marquée par une forte volonté chez les Européens d’insister sur l’altérité des esclaves noirs. Par conséquent, les Européens étaient dépeints comme des personnes minces, caractérisées par la rationalité et la maîtrise de soi. En revanche, les Noirs étaient dépeints comme incapables de se maîtriser, et les corps gras ou tout en courbes étaient associés au fait d’être noir et/ou « sauvage ».

Pour ce qui est des comportements de classisme et de capacitisme mentionnés ci-haut : imaginez que vous habitez un corps atteint d’une condition qui vous empêche de manger certains aliments jugés « salutaires » et qui vous oblige de consommer des aliments jugés « malsains » pour survivre. C’est la réalité de bon nombre de personnes atteintes de maladies chroniques (p. ex., la maladie de Chron, diabète), de sensibilités alimentaires, d’allergies ou d’autres troubles de santé. Les personnes atteintes de ces conditions sont souvent amenées à croire que leur corps est en « mauvaise santé » ou insuffisant si elles sont confrontées à des obstacles les empêchant de manger les « bons » aliments. Même son de cloche pour les familles confrontées à des obstacles financiers qui leur freinent l’accès à certains aliments.

Autre point à considérer : même la formule que nous avons développée pour déterminer quand et combien nous devons manger trace ses origines aux pratiques coloniales et racistes. Quand les colons sont arrivés en Amérique du Nord, ils ont observé les pratiques traditionnelles des peuples Autochtones – qui mangeaient sur le pouce et selon la disponibilité ou le besoin - comme un signe parmi d’autres de la « sauvagerie ». En revanche, les colons considéraient comme « civilisés » les gens capables de définir des limites entre eux-mêmes et la nourriture, ce qui a débouché sur la mise en place d’un système de trois repas par jour – utilisé par la suite aux fins de la « domestication » des peuples Autochtones (Carroll, 2013).

Si nous voulons que les élèves aiment leur corps et le voient d’un œil positif, nous devons nous-mêmes changer notre façon de voir et de parler de la nourriture et du corps. Mais ce n’est qu’un commencement. Nous devons également examiner, évaluer, remettre en question et abandonner les systèmes qui sous-tendent les perspectives actuelles.

Dans votre parcours personnel, vous allez probablement vous confronter à un certain malaise, voire de la résistance de la part de certaines personnes. Les points de résistance les plus fréquents, notamment dans l’environnement scolaire, reposent sur les malentendus ou les idées reçues en relation avec la santé et le bien-être. Les préoccupations entendues le plus souvent font valoir que l’on fasse la promotion de « mauvaises » pratiques alimentaires, ou que l’on s’écarte des directives du Guide alimentaire canadien, ou bien la volonté de protéger les enfants de tous les préjugés associés au poids. Voici quelques conseils pour répondre à ces préoccupations :

  • Si vous avez déjà fait un régime, que vous ayez essayé de restreindre votre consommation d’aliments ou que vous ayez fait très attention aux aliments que vous mangez pour être « en forme », j’imagine que vous avez vécu le stress et peut-être le sentiment déshumanisant que votre valeur personnelle repose entièrement sur les aliments que vous consommez. Nous vous demandons de réfléchir – en quoi cette attitude est-elle saine? Le stress et la honte qui résultent trop souvent quand une personne est obligée de contrôler son corps sont certainement plus nuisibles que l’approche de donner aux enfants la possibilité d’écouter leur corps, de manger ce qui semble meilleur pour eux personnellement, et de développer la confiance que leur corps sait ce qui est important.
  • Le fait d’encourager les enfants à entretenir une relation saine avec leur corps et à se fier à leurs besoins, plutôt que de les soumettre aux attentes et aux normes définies par la société, est associé à plusieurs effets positifs. Fondamentalement, l’alimentation intuitive est une approche à l’alimentation reposant sur des signaux et des besoins internes, à la grande différence de l’alimentation réglementée exigeant un contrôle rigoureux et le respect de nombreuses règles associées aux aliments (par exemple, les quantités de calories qu’on peut consommer, les types d’aliments qu’on peut se permettre). Une méta-analyse de l’alimentation intuitive a constaté que les personnes qui mangent intuitivement sont moins susceptibles de se livrer aux pratiques d’accès hyperphagique, de « manger ses émotions » ou de restrictions alimentaires. En plus, l’alimentation intuitive s’associe avec une meilleure conscience des signaux du corps, une meilleure appréciation du corps, et une tendance accrue à refuser les idéaux et les normes sociales en lien avec l’apparence et la forme physique (Linardon, Tylka, & Fuller‐Tyszkiewicz, 2021).
  • Si vous espérez protéger les enfants contre la partialité envers les obèses et la « grossophobie », la voie à suivre est de s’attaquer aux systèmes (c-à-d le racisme, la suprématie blanche, le colonialisme, le capitalisme) qui perpétuent ces perspectives, plutôt que de demander aux enfants de changer leur corps afin de se mettre en conformité avec les règles propres à ces systèmes de pensée. Si nous continuons de dire aux enfants qu’ils doivent perdre du poids, faire attention à ce qu’ils mangent et contrôler leur corps afin d’avoir une meilleure idée d’eux-mêmes, nous leur donnons autant de raisons d’échouer. Les études constatent que (95%) des régimes se soldent par une nouvelle prise de poids, et entre un et deux tiers des personnes qui suivent un régime finissent par atteindre un poids supérieur que celui au départ (Mann et al., 2007; Siahpush et al., 2015). Si vous tentez de contrôler la taille ou la forme du corps d’un enfant, il est fort probable que vous allez échouer, et pire encore, l’enfant finira par être hanté par un sentiment de honte au sujet de son corps et de ses pratiques alimentaires.

Vous vous demandez peut-être – c’est bon en théorie, mais dans la pratique? Il existe plusieurs façons de commencer à redéfinir les discours autour du corps et de l'alimentation avec vos élèves dans le cadre de vos cours d'éducation physique et à la santé, d'une manière réaliste et réalisable.

(1) Mettre l’accent sur le mieux-être

  1. Se concentrer sur les facettes de l’identité des élèves au-delà de l’apparence physique. Encouragez des conversations sur les qualités qui contribuent à l’identité de chaque individu. Cette discussion devrait englober la reconnaissance et la célébration des identités intersectionnelles (c-à-d origines ethniques, culture, religion, sexe, sexualité, etc.).
  2. Être conscient.e de la représentation; Les images et les ressources mises à la disposition des élèves doivent représenter une variété de cultures, d’identités sexuelles et de formes du corps (c-à-d dans les manuels d’anatomie, les affiches exposées dans l’école, le choix d’aliments servis dans la cafétéria)

(2) Impartialité alimentaire

  1. Éviter de classer les aliments comme sains/malsains ou bons/mauvais. En revanche, il vaut mieux initier les élèves aux différents moyens par lesquels les aliments satisfont à une variété de besoins. Par exemple, certains aliments nous fournissent de l’énergie; d’autres sont riches en nutriments; d’autres ont une valeur culturelle; certains aliments nous sont réconfortants; d’autres ont un rôle religieux ou spirituel.
  2. Éviter de féliciter les personnes pour leur choix alimentaires ou pour les quantités d’aliments qu’elles consomment. Il ne doit pas y avoir d’attente quant aux types d’aliments qu’il faut manger (p.ex., seulement les fruits et les légumes pour la collation). Une telle pratique équivaut à dire aux élèves que certains aliments sont « meilleurs » que les autres, et ces aliments préférables ne sont peut-être pas accessibles à tous les élèves.
  3. Éviter de faire des commentaires sur votre propre corps ou sur ceux de vos élèves, même si c’est pour les « complimenter », au risque de suggérer que certains corps ou apparences sont plus souhaitables que d’autres. 
  4. Inviter les élèves à réfléchir aux moyens par lesquels ils ont été exposés à la culture du régime et à la partialité contre les obèses. Pour ce faire, livrez-vous à un examen critique des publications dans les médias sociaux, les magazines, les publicités, etc. Il est impossible de démanteler ces systèmes d’un coup, mais nous sommes capables d’initier les élèves aux médias et leur apprendre à les regarder d’un œil critique et de reconnaître et remettre en question les messages. Posez les questions suivantes à vos élèves :

(I) Quels aspects de ce contenu expriment la culture du régime? 

(II) Quel message est présenté par ce contenu au sujet des aliments/des valeurs/de l’estime de soi? 

(III) Quels sentiments éprouves-tu à l’égard de toi-même quand tu lis cette publication? 

(IV) Que ferais-tu pour reformuler la publication originale axée sur la culture du régime pour la recadrer dans une optique de neutralité corporelle ou du principe HAES (Health at Every Size/La santé à tous les poids)? Si cela n’est pas possible (peut-être que la publication originale est tellement offensante qu’il est impossible d’y remédier), exerce ta créativité!

(3) À l’école

  1. Encourager les élèves à être à l’écoute de leur corps et à manger quand ce dernier leur dit de le faire – L’objectif est de développer une relation positive et de confiance avec le corps! Rappelons que les « heures de repas » sont fondées sur des valeurs coloniales et racistes. Si un enfant a faim, il ou elle doit avoir le droit de manger. 
  2. En reconnaissant que le Guide alimentaire canadien peut être utilisé comme une ressource pédagogique, utilisez-le comme amorce de discussions. Faites un examen critique du Guide et profitez du fait qu’il ne prenne pas en considération l’insécurité alimentaire, les habitudes et traditions culturelles, les pratiques religieuses ou les besoins individuels (c-à-d, allergies, troubles de santé).
  3. Adopter un programme holistique de santé à l’école qui reconnaît le bien-être comme facteur essentiel de la réussite des élèves. Les écoles peuvent y parvenir en cultivant des environnements positifs, notamment en aménageant une variété d’espaces et de zones pour les activités de bien-être, en encourageant une instruction informelle (p.ex., parler avec les élèves durant la récréation), et en demandant aux élèves de donner leur avis sur les politiques de l’école et de la division scolaire qui les touchent directement.
  4. Trouvez des moyens d'intégrer des activités ludiques et encouragez les élèves à fournir des rétroactions sur des activités plus structurées. Tous les élèves n’aiment pas tous les sports/activités physiques et c’est tout à fait normal et acceptable! Saisissez les opportunités de discuter du mouvement intuitif et de l’idée de se sentir mieux dans son corps au quotidien.
  5. Faire preuve de flexibilité en ce qui concerne les options vestimentaires pour les cours d’EPS. Tout comme les adultes, les enfants et les adolescents ont des vêtements dans lesquels ils se sentent plus confortables pour les activités de mouvement. Un code ou des attentes vestimentaires peuvent imposer des choix qui ne sont pas sécurisants ou confortables pour certains élèves. Soulignons que les enseignant.e.s font une évaluation formative et sommative des élèves sur la base des résultats d’apprentissage inscrits dans le programme d’études. Pourvu que les élèves puissent atteindre les résultats en toute sécurité, peu importe le choix de vêtements pour y parvenir!
  6. Ce n’est pas tout le monde qui se surpasse comme athlète, d’où l’importance de prévoir une variété de jeux, d’activités et de pauses en mouvement qui sont inclusifs et équitables. Par exemple, quand une classe d’EPS fait une activité, divisez l’activité en plusieurs niveaux permettant aux élèves de tous niveaux d’aptitude de travailler sur la tâche que vous évaluez. Cette pratique encourage les élèves à être confiant dans leur propre corps et à comprendre ce dont leur corps est capable. En reculant un peu et en examinant les pratiques et les mouvements individuels que notre corps exécute, cela renforce notre relation avec notre corps.

Références

Carroll, A. (2013). Three squares the invention of the American meal. Basic Books, a member of the Perseus Books Group. 

Ever Active Schools (2023). Comprehensive School Health. https://everactive.org/comprehensive-school-health/ 

Linardon, J., Tylka, T. L., & Fuller‐Tyszkiewicz, M. (2021). Intuitive eating and its psychological correlates: A meta‐analysis. International Journal of Eating Disorders, 54(7), 1073-1098. 

Mann, T., Tomiyama, A. J., Westling, E., Lew, A. M., Samuels, B., & Chatman, J. (2007). Medicare's search for effective obesity treatments: diets are not the answer. American Psychologist, 62(3), 220. 

Siahpush, M., Tibbits, M., Shaikh, R. A., Singh, G. K., Sikora Kessler, A., & Huang, T. T. K. (2015). Dieting increases the likelihood of subsequent obesity and BMI gain: results from a prospective study of an Australian national sample. International Journal of Behavioral Medicine, 22, 662-671. 

Strings, S. (2020). Fearing the black body: The racial origins of fat phobia.

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