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Série de billets de blogue « Enseignant la résilience » : Comment être éducatricee et vivre en même temps une descente personnelle dans l’enfer

30 mai 2023
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Dressons un tableau … au milieu de l’après-midi, deux élèves font irruption dans mon bureau, pris de panique, parce qu’un camarade vient d’avaler un tas de pilules dans les toilettes. En tant qu’administratrice, je garde mon calme et je monte les escaliers vers les toilettes ne sachant pas trop à quoi m’attendre. Ce n’était pas ma première expérience de surdose, mais cela n’amoindrit pas l’horreur. L’incident se termine par la police et les ambulanciers qui transportent l’élève à l’hôpital. En route à la maison, je change de mode, troquant mon rôle administratif pour celui de maman. Je me souviens que c’était une soirée particulièrement belle, et j’écoutais Garth Brooks en conduisant (sa voix me calme).  

Rentrée à la maison, j’ai salué ma fille Samantha en lui demandant si elle avait passé une bonne journée. La plupart du temps, Sammy est très dynamique, bouillant d’énergie, mais ce soir-là ce n’était pas du tout le cas.  Sam était allongée sur le divan et me disait qu’elle avait mal à l’estomac, encore une fois.  Sammy souffrait de douleurs au ventre depuis quatre mois, mais ce soir-là mon intuition m’a dit que c’était différent. Pendant la nuit, Sam allait de mal en pis. Je lui donnais du Tylenol toutes les quatre heures, et nous avons très mal dormi. À tout cela s’ajoutaient d’autres préoccupations, comme par exemple les protocoles de COVID qui changeaient sans cesse, les enseignants qui étaient malades et la pénurie de suppléants, les évaluations des élèves, la préparation à une nouvelle année scolaire, et maintenant, mon enfant était malade. Je venais justement d’affronter une surdose d’un de mes élèves, et puis ma propre enfant souffrait. Je ne me doutais pas à ce moment-là que ma vie allait prendre le pire des tournants.  

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Le lendemain, nous sommes allées aux urgences de l’Hôpital pour enfants Stollery d’Edmonton. Avant d’y aller, j’ai téléphoné au directeur de mon école pour lui dire que je serais absente mais que j’apportais mon portable avec moi pour travailler sur les contenus d’évaluation que nous préparions, entre autres, pendant notre attente aux urgences. Mais l’attente n’a pas été longue. On a pris des radiographies tout de suite, et moins d’une heure plus tard, Sam a été opérée d’urgence pour une grave occlusion intestinale. Essentiellement, le gros intestin s’est fendu et son corps s’empoisonnait. Ma fille de 5 ans était gravement malade et le personnel médical travaillait d’arrache-pied pour lui sauver la vie. Ce fut une journée infernale. Mais ce n’était que le commencement, pour moi-même et pour ma fille. 

Samantha a été opérée le 11 juin. Le 17 juin, 2021, elle allait enfin pouvoir quitter l’hôpital et reprendre la vie normale, ou du moins le croyions-nous. On ne pourrait s’éloigner davantage de la réalité. L’équipe chirurgicale est venue examiner Sam très tôt dans le matin. À cause de la pandémie, mon époux et moi ne pouvions pas être à l’hôpital ensemble, et c’était mon tour de passer la nuit au chevet de notre fille. On attendait toujours les résultats de la biopsie, mais Sam semblait être en pleine forme et nous allions enfin sortir de l’hôpital et dormir dans nos propres lits. Pour ce qui est du reste de la journée, les détails m’échappent. Mon époux était en route à l’hôpital pour nous chercher et nous reconduire à la maison, puis soudainement d’autres médecins sont arrivés dans la chambre et me demandaient quand mon mari allait arriver. La spécialiste de l’enfance est venue chercher Sammy pour l’emmener dans la salle de jeux, et me voici seule dans la chambre. Je savais que quelque chose de très mauvais se passait. Quand mon époux est arrivé, le médecin s’est présenté; c’était le chef du service d’oncologie pédiatrique à Stollery.  Oncologie pédiatrique?  Mais que diable! Je suis tombée à genoux, mon mari me tenait dans ses bras, et Sam était dans la salle à côté; nous l’entendions rire et jouer. D’innombrables pensées s’agitaient dans ma tête. 

Non, pas mon enfant! 
Pas ma petite fille! 
Pourquoi elle? 
Elle va mourir? 
Qu’est-ce que les gens vont penser? 
Je ne vais jamais me remettre de ce coup!!! 
Je vais perdre ma petite!!
Notre vie est changée à tout jamais! 
Notre petite a un CANCER. 
POURQUOI, POURQUOI, POURQUOI elle!!

C’était comme si j’avais cessé de vivre, de respirer. Je me suis écroulée. Je tremblais tellement, c’était comme une noyade. Une noyade sous les larmes qui bouillonnaient de mes yeux. Ce fut the choc total. Il y a quelques minutes, nous allions quitter l’hôpital et reprendre la vie normale. Maintenant, la normale était devenue un état à tout jamais inatteignable.  En l’espace d’une seule heure, tout avait changé. Il y a un moment, je faisais les bagages de Sammy et je planifiais une célébration pour les élèves de la 9ème année; l'instant d'après, j’entendais la pire nouvelle qu’un parent puisse entendre.  

À ce moment-là, mon école, ma carrière, les célébrations pour les élèves de la 9ème année – tout cela n’avait plus aucune importance. C’était comme si tout le reste a été effacé aussitôt que nous avons entendu le mot « cancer ». Mon travail n’existait plus. Mon monde s’est effondré. Je me concentrais à 110% sur mon enfant, cœur et esprit.  Rien d’autre n’importait! 

Samantha a eu un diagnostic du lymphome de Burkitt, reconnu comme un cancer tueur d’enfants parce que la progression est tellement rapide. C’était impossible d’absorber cette information, cela me dépassait. Et l’idée que je risquais de perdre mon enfant était impensable, insupportable.  

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À compter de ce jour-là, j’ai pleuré sans cesse, pendant des semaines. Je faisais de mon mieux pour ne pas pleurer devant Sam parce que, à cette époque-là, elle ignorait complètement les menaces qui pesaient sur sa santé. Elle comprenait qu’elle avait subi une opération, et qu’il y avait une grande cicatrice dans son ventre, mais elle n’avait plus mal à l’estomac. Elle ne savait pas que le cancer se propageait rapidement dans son corps, et que l’équipe médicale devait être encore plus agile et agressive dans ses efforts combattre la maladie, la vaincre. Notre enfant serait appelée à lutter pour survire.  J’étais aux prises avec les pensées les plus horribles, et j’ai sombré dans l’obscurité totale. 

Comme bon nombre de mes collègues dans l’éducation, j’aime prendre le contrôle. C’est mon habitude de prendre les choses en main, et je me suis forgé la réputation de perfectionniste. Le diagnostic de ma fille a changé la donne. Soudainement, je n’avais aucun contrôle; je n’y pouvais rien pour régler le problème, et j’étais incapable de me protéger, de protéger ma famille, de protéger ma fille. Impuissance totale. Avec cette perte de contrôle, j’avais le sentiment de dégringoler. C’était la période la plus sombre de ma vie.

Dans mon rôle d’éducatrice, j’ai affronté beaucoup de situations insolites, mais j’avais toujours le sentiment de pouvoir contrôler les choses, y mettre de l’ordre. J’adore mon travail et j’ai la bonne fortune d’être dans une situation où je peux faire une différence chaque jour dans la vie de mes élèves et de mes collègues. J’avais toujours été très professionnelle et pragmatique, puis me voici complètement perdue, submergée par l’émotion. Je n’avais plus mon travail pour occuper mes pensées; j’étais reléguée à la ligne de touche, en regardant mon enfant qui luttait contre le cancer. Tout ce que je pouvais faire était observer, prier, et ne jamais perdre l’espoir. J’ai perdu mon sentiment d’identité et je me suis perdue moi-même.

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Si nous remontons seulement quelques mois en arrière, on me décrirait comme très indépendante, bien organisée, et confiante dans mon double rôle de maman et d’administratrice scolaire. Oui, j’étais très occupée, mais n’est-ce pas le cas pour la plupart des mères qui travaillent? Oui, je me sentais souvent coupable, mais c’est la réalité pour les mères tiraillées de part et d’autre par le travail, les activités parascolaires, les courses, etc.? Je pensais que j’avais ma propre santé en main. Un an auparavant, j’avais été diagnostiquée de la polyarthrite rhumatoïde (PR), donc au-delà de mes responsabilités professionnelles et familiales, je composais avec la PR.  Pour la plupart, je pensais que mes rapports avec la vie étaient assez solides. L’anxiété a toujours eu une place dans ma tête, mais en général c’était en quelque sorte un atout parce que c’était une force qui me propulsait et me motivait à travailler dur et donner le meilleur de moi-même. Je n’aime pas céder le contrôle, et cette anxiété n’a jamais eu raison de moi. C’était un aspect de mon caractère que j’avais appris à utiliser à bon escient.

À l’heure actuelle, c’est une tout autre histoire. Nous avons pris notre dernier traitement de chimiothérapie il y a huit mois. Samantha a sonné la cloche et elle va bien. Oui, la vie se poursuit, mais pas seulement parce que Sam a sonné la cloche et les traitements sont derrière nous – notre vie est à tout jamais changée.  L’anxiété que j’éprouve au quotidien est parfois incapacitante. Ayant passé une année entière en état de crise, j’ai le moral à zéro. Le traumatisme que nous avons vécu ensemble a changé notre famille. L’anxiété que je connais maintenant est très différente, et je suis aux prises avec le TSPT.  Je visite un thérapeute chaque semaine; je prends des médicaments, et je fais de mon mieux pour être gentille envers moi-même. J’ai vécu la pire expérience qu’une mère puisse vivre. Mon enfant a subi des opérations et des traitements qui ont failli la tuer. Mais elle est venue à bout, avec force, courage, et persévérance. Il m’a fallu un bout de temps, mais j’ai réintégré mon poste et cela constitue une belle distraction. J’ai la bonne fortune de m’entourer d’une excellente équipe et d’élèves remarquables, et je suis complètement à l’aise pour leur parler franchement. À titre d’administratrice, j’essaie de passer de la parole aux actes et me permettre d’être vulnérable et parler honnêtement de mon état d’esprit et de santé. Évidemment, il y a des moments où j’ai envie de me cacher, mais je me dis  alors ‘cela va passer’, et c’est généralement le cas.

Donc où en suis-je aujourd’hui dans mon parcours d’éducatrice? À l’heure actuelle, je vis dans le moment présent. Je suis une éducatrice qui vit dans la peur chaque jour. Je suis une éducatrice qui essaie vraiment de prêcher par l’exemple. Je suis une éducatrice avec une histoire, des bagages. Je suis une éducatrice qui a failli quitter le métier à cause de la pression que ce choix de carrière fait peser sur moi en tant qu’être humain attentionné et plein de compassion. Je suis une éducatrice qui ne va plus jamais donner la priorité à mon travail aux dépens de ma famille. Je suis une éducatrice qui apprend à naviguer sur les chemins de la vie. Et le plus important de tout : je suis une éducatrice qui place sa famille au premier rang, mais qui aime également sa famille professionnelle de collègues et d’élèves.

Je ne vous raconte pas mon parcours pour susciter de la pitié pour moi-même, ma fille, ou ma famille. Je vous raconte cette histoire parce que, au cours des douze derniers mois, j’ai beaucoup appris, et j’ai évolué personnellement, et je pense qu’il y a des leçons valables là-dedans pour d’autres personnes. Voici quelques-uns de ces acquis. 

  1. Comme me l’a dit ma fille : « Maman, c’est ok. ». Il est tout à fait acceptable de montrer et exprimer vos émotions. Il ne faut pas les cacher. Laissez votre famille et vos élèves voir les larmes que vous versez. N’ayez pas peur d’avoir peur. Nous sommes tous des êtres humains!
  2. Soyez gentil(le) envers vous-même, au travail comme à la maison. Bon sang, nous ne sommes pas censés tout savoir, et il est impossible de maintenir le contrôle sur tout, à perpétuité. Nous n’avons aucune incidence sur la vie de nos élèves au-delà de l’école. Tout ce que nous sommes capables de faire est d’essayer de les mettre sur le bon chemin. 
  3. La famille est priorité numéro un. Il ne faut jamais passer le travail avant la famille. Rien n’est plus important que la famille. 
  4. La plus grande richesse au monde est la SANTÉ. Je ne peux trop insister sur ce point. De mon propre diagnostic de polyarthrite rhumatoïde jusqu’à la lutte de mon enfant contre le cancer, la santé définit la vie. Les notes à l’école, la progression professionnelle ne se comparent pas avec le bien-être personnel.  

Il m’a été donné de vivre des jours très sombres. L’enfer total. J’ai fait de mon mieux pour maintenir le contrôle, pour garder bonne contenance. Et à vrai dire, c’est épuisant. Je ne vais pas bien. Les difficultés m’accablent. C’est un véritable enfer. Et je n’ai aucun contrôle sur tout cela. Mais je reçois des soins et je suis résiliente. Je suis toujours honnête et franche dans mes relations avec ma famille, moi-même, et mon entourage. Lentement mais sûrement, je traverse cet enfer. Et ma petite Sammy est un miracle vivant qui m’inspire chaque jour! 

Nous avons chacun(e) sa propre histoire. Vous ne pouvez peut-être pas marcher un mille dans mes souliers, mais vous pouvez tout de même m’accompagner.

Savourez la vie, soyez indulgent(e) à votre égard, et pensez positivement. 

Je vous embrasse tout le monde.

 

Profil de l’auteure:

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Kim Hordal-Hlewka est directrice adjointe de l’école secondaire Michael Phair à Edmonton, dans l’Alberta. Plus important encore, elle est la mère de Super Sam.  Kim a enseigné l’éducation physique à la maternelle jusqu’à la neuvième année. Elle a été conseillère d’éducation physique, santé, et approches globales de la santé en milieu scolaire pour les Écoles publiques d’Edmonton, et elle a également travaillé pour Ever Active Schools à titre de conseillère provinciale d’approches globales de la santé en milieu scolaire.  Kim croit ardemment à l’importance d’une approche holistique axée sur l’éducation physique, la santé, et le bien-être de l’enfant. Au fil des années, Kim a donné des conférences pour @EverActiveSchoolsAB, @AlbertaHPEC, @EPSCanada, congrès de la petite enfance, le salon New Teachers Convention, le Congrès international de la littératie physique, le Forum national sur les écoles en santé, et le Congrès Shaping the Future.

 

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